Please wait...
Les opérateurs rémois (URCA) et montois (UMONS) du projet NanoCardio ont développé depuis le début du projet les voies de synthèses permettant l’obtention des sondes magnétiques dendritiques utilisées comme produits de contraste en imagerie par résonance magnétique.
Depuis le début du projet en janvier 2017 NanoCardio, les opérateurs collaborent dans leur objectif de développement de nouvelles sondes de diagnostic permettant la détection des plaques athéroscléreuses à l’origine de la majorité des maladies cardiovasculaires.
Comme vous le savez, le projet NanoCardio vise à prévenir les maladies cardiovasculaires, en détectant notamment les plaques athéroscléreuses par IRM et imagerie optique. Au fait, savez-vous ce qu’est l’athérosclérose ? On vous dit tout.
Nous vous l’annoncions il y a quelques semaines : NanoCardio a franchi la barre des 500 fans sur le réseau social Facebook. Un chiffre extrêmement positif pour le projet Interreg FWVL rassemblant les universités de Gand (UGENT), Mons (UMONS) et Reims (URCA).
Quelques jours après son déplacement à Anvers dans le cadre d’une table-ronde organisée par Interreg France-Wallonie-Flandre, NanoCardio repartait de plus belles. Cette fois, c’est l’aile française du projet Interreg, représentée par l’Université de Reims-Champagne-Ardenne (URCA), qui s’invitait au SFNano C’Nano 2019, au Palais des Congrès de Dijon.
En cette fin d’année, le programme Interreg France-Wallonie-Flandre tenait une table-ronde à Anvers. Plusieurs ambitieux projets Interreg y étaient mis à l’honneur, par le biais d’un de leur représentant.
Keep est une base des données permettant de renseigner les informations générales liées aux projets et aux bénéficiaires des programmes de coopération transfrontalière, transnationale et interrégionale de l’Union Européenne, entre les états membres et les pays voisins. Projet Interreg rassemblant la France, la Wallonie et la Flandre, NanoCardio trouve légitimement sa place sur cette plateforme.