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Le projet NanoCardio s’inscrit dans la stratégie du Programme INTERREGV en répondant à l’axe prioritaire 1 de l’Union Européenne ‘Améliorer et soutenir la collaboration transfrontalière en recherche et innovation’. En effet, il permet de :
Il faut souligner qu’en matière médicale et pharmaceutique mais aussi du point de vue de règles éthiques, ces deux points sont chronologiquement incontournables et le déroulé du projet respecte cette chronologie,
Il vise également à proposer une offre de formation inter-universitaire spécifique, dans le domaine des nanodispositifs pour le diagnostic médical, en intégrant les divers aspects conduisant à leur mise au point (élaboration et caractérisation de nanostructures pour la santé, imagerie, nanotoxicologie). Enfin, il se fixe aussi comme objectif d’accroitre la visibilité des résultats qu’il pourra engendrer, pour montrer que les universités de la zone transfrontalière peuvent être des acteurs qui comptent dans le domaine des nanosciences pour la santé.
Dans le cadre du projet NanoCardio, l’approche transfrontalière permet de renforcer la collaboration entre des équipes aux savoirs et savoir-faire complémentaires. Une partie des partenaires du projet travaille déjà en collaboration et des résultats communs ont déjà été acquis sur d’autres problématiques. Le consortium constitué ici voit ses compétences élargies d’un point de vue scientifique, en particulier en terme de nanotoxicologie (ce qui est fondamental pour les applications visées mais aussi d’un point de vue éthique par rapport à l’utilisation de nanoparticules).
L’intérêt dans ce projet est aussi de profiter de la proximité géographique entre les parties prenantes pour mener des projets plus ambitieux. Les actions en cours nous montrent que cette proximité est un atout fort pour améliorer le temps de réponse entre partenaires. Ceci a un impact direct sur le retour d’expériences et sur la mise en commun des pratiques de recherche.
A nos yeux, ce point est crucial surtout quand les projets sont interdisciplinaires. Pouvoir communiquer en proximité permet de réduire les frontières disciplinaires, ce qui est un atout pour atteindre nos objectifs. Ceci permet aussi une plus grande mobilité des chercheurs qui peuvent ainsi assister leurs partenaires quand des expériences communes requièrent des savoir-faire complémentaires. Nous ambitionnons donc de mettre en place un réseau opérationnel pérenne à l’issue du projet dont le but sera de transférer la technologie acquise via les cellules de transfert de la zone transfrontalière et de développer des actions de formation dans le domaine émergent des nanosciences pour la santé.